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Branche MaynardLa généalogie de la branche Maynard est assez sommaire comparativement aux autres branches. La transmission au cours des générations d'un faible nombre d'informations implique que des pans entiers de cette généalogie sont totalement inexplorés et difficilement explorables.
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| Les origines | La sous-branche Maynard se décompose en:
- Sous-Branche Maynard: famille issue de St Bonnet le Troncy dans le Rhône dont les origines identifiées les plus lointaines remontent au milieu du XVIIème siècle
- Rameau Miraillet: famille de L'Ain. Une implantation très ancienne dans le pays de Belley, à mi-chemin de Lyon et d'Annecy.
- Rameau Rey: famille de l'Ain les ancêtres venaient des Hautes Alpes dans la région de Briançon. Les collatéraux de ce rameau sont tous issus de la Bresse et de ces abords (Haute Saône, Rhône)
- les autres rameaux sont quasiment inconnus
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Il est né en 1818 à Cras sur Reyssouze dans l'Ain. Il n'a pas 30 ans lorsqu'il se marie à Lyon le 21 janvier 1846 avec Laurence Miraillet. La même année, naît son premier enfant Charles Jean Marin (Né le 18 décembre 1846 à Lyon).
A peine plus d'un an plus tard, au début de l'année 1848, Charles, acquis par les idées révolutionnaires, se lance dans la politique. Il devient rédacteur du "Peuple souverain" de Lyon, journal socialiste interdit après l'émeute du 15 juin 1849. Le Maréchal Bugeaud le qualifie de "journal rouge de Lyon". Une autre source indique qu'à Lyon, "deux affreux journaux rédigés avec une exaltation sans pareille", le Peuple souverain et le Républicain soutenaient la propagande rouge. Ils appliquaient une directive émanant du Comité permanent de la Presse démocratique les invitant à ouvrir une souscription pour couvrir les frais qu'entraîneraient l'envoi gratis et quotidien du journal à chaque compagnie de l'armée des Alpesque En 1848, le journal défend la candidature de Raspail contre celle de Napoléon.
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Il naît le 11 novembre 1868, à Vaise (Lyon) au 5 de la rue du marché. Cette maison de 4 étages, située au bout de la rue, donnait aussi directement sur la place du marché.
Le 26 juin 1870, il épouse à Lyon (1er arrdt), Claudine Théanie Gudin
- 1867: Employé de commerce, demeurant au n°26 de la rue de l'annonciade (Lyon, 1er arrondissement)
- 1871: Employé de commerce, demeurant n°45, Grande Rue de la Croix-Rousse en 1871.
- 1878: à la date de son décès, le 2 août 1878, il est marchand rouennier et habite toujours au n°45 de la Grande Rue à la Croix-Rousse. Marchand rouennier: spécialisé dans les toiles de coton de couleur peintes, fabriquées principalement à Rouen. Souvent les rouenniers étaient aussi bonnetiers / merciers.
Deux enfants:
- Louis "Michel" Antoine
- Joseph
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Michel Maynard est né Lyon le 7 septembre 1871 au domicile de ses parents au n°45 de la Grande Rue de la Croix Rousse (4ème arrondissement). Son père, employé de commerce a alors 23 ans et sa mère 35 ans. |
| La famille Gudin est originaire de l'Ain
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Michel Gudin était le grand père maternel de PAKER (Michel Maynard). Il est né à Lyon Le 23 février 1810 et décédé le 14 février 1875 à l'âge de 65 ans. Ses parents étaient Armand Gudin et Françoise Mollard, mariés à Lyon le 19 février 1797. Le 13 juillet 1835, il épouse à Tarare, Félicité Stéphanie Kuffer, marchande de modes, fille de Jean Olivier Kuffer, tenant un cabinet de lecture et Marie Ménissier.
Cet acte de mariage nous apprend que:
- Félicité Stéphanie est née à Paris le 3 février 1811 (Après recherches, certainement dans le 12ème arrondissement)
- Armand Gudin est décédé à Lyon le 5 octobre 1832
- Françoise Mollard est décédée à Lyon le 1er février 1835
Généalogie Küffer / Ménissier: Les parents de Félicité Stéphanie se sont mariés dans le douzième arrondissement de Paris. Celà devait être un deuxième mariage pour Jean Olivier (Mention d'un acte de mariage en 1791, à Aubervilliers: recherche en cours). Tant les Ménissier que les Küffer devaient venir de l'est de la France, plus précisément de la Moselle...?
Michel avait au moins un frère: Joseph. De ce dernier nous ne savons que peu de chose: l'acte de mariage Michel permet de savoir qu'il est né en 1805 et qu'il était maître cordonnier. Par ailleurs sont restées dans la famille plusieurs photos de lui et de sa famille. Son épouse se nommait Françoise Anne Tasseau (Mariage 26 janvier 1837 à Lyon, mairie unique).
De Michel Gudin, nous ne savions que peu de choses: sont parvenues jusqu'à nous une photo le représentant d'un air débonnaire, assis sur une chaise et quelques anecdotes de tradition familiale qui disent:
- que "lors d'une perquisition de la police, il cacha des papiers compromettants dans les couches de son enfant". (ou petit enfant)
- qu'il "participa aux révoltes des canuts de Lyon et qu'il dut se réfugier en Italie en passant par le col du St Bernard". En souvenir de cette fuite, ses petits enfants Joseph et Michel Maynard, firent plus tard le même trajet (Peut-être le firent-ils à plusieurs reprises).
Quelques recherches ont permis de connaître un peu mieux le personnage:
Michel Gudin participa t-il aux révoltes de canuts de 1831 et 1834? Rien n'est prouvé. Il aurait eu 21 et 24 ans lors de révoltes lyonnaises et sa participation est possible. Une chose est sûre: Michel Gudin fut l'un des principaux acteurs de la révolution de 1848 à Lyon. Avant même la révolution de 1848, Michel était actif et l'on sait de lui qu'il était "ancien condamné politique ... et affilié aux sociétés secrètes".
Lorsque la révolution prend forme à Lyon le 25 février 1848. Dès le 5 mars (au moins), Michel Gudin, passementier, fait partie des Membres du nouveau Comité Central établi par le " peuple (qui) s'était emparé de la Grande Salle de l'hôtel de ville ".
Très rapidement " la question qui dominait toutes les autres … était celle de l'armement du peuple … On décida d'envoyer des émissaires au lieutenant général et d'exiger de lui la remise immédiate d'armes, en quantité suffisante pour armer peuple et garde nationale…
Joseph Bergier, auteur du "Journal d'un Bourgeois de Lyon" raconte : "Le Maire me désigna pour cette mission, avec Gudin et , malgré les dangers qu'elle pouvait présenter, nous n'hésitâmes pas à l'accepter. Nous partîmes à minuit et jusqu'au fond de la rue de Charité, domicile du lieutenant général Duperron, nous ne rencontrâmes presque personne. Lyon était dans le calme le plus complet. Quelques postes d'ouvriers stationnaient sur la place de Bellecour et, la plupart, sans armes, n'ayant que celles des postes désarmés. Le général, avec ses aides de camp, venait de souper : il nous reçut fort bien, protesta de ses bonnes intentions pour la République, mais nous parla de l'impossibilité où il était de donner des armes, prétendant qu'il n'y en avait point dans les arsenaux ".
" Sur nos instances et le danger que nous lui faisions entrevoir de laisser la population envahir les arsenaux et les forts et peut-être aussi, pour montrer de la bonne volonté, il nous dit qu'il allait tâcher de nous faire donner 200 ou 300 fusils. Nous nous récriâmes sur ce petit nombre que nous regardions comme une véritable mystification. Il assura qu'il ne pouvait faire plus, mais qu'il tâcherait d'élever le nombre à 700 ou 800 : il écrivit, aussitôt, un ordre dans ce sens et nous promit que, dans deux heures, les fusils seraient rue des Augustins, dans la cour de la Martinière. Gudin et moi revînmes à l'Hôtel de Ville porter cette nouvelle qui fort bien accueillie parce que l'on pensait que, le lendemain, de nouvelles démarches plus actives feraient trouver des armes en nombre suffisant pour armer une partie de la population ".
" …, en revenant, nous avions eu un violent orage, tel, que les tuiles tombaient de dessus les toits et semblait devoir ébranler les maisons… "
" A 3 heures, les armes qui nous avaient été promises par la général n'étaient pas encore arrivées, et cela engendrait des murmures et des plaintes. Nous fûmes désignés de nouveau, Gudin et moi, pour aller les réclamer, et nous fîmes une seconde course. Nous fûmes aussi bien reçus que la première fois et le général nous dit qu'il avait donné l'ordre de délivrance, qu'on était allé les chercher dans les arsenaux et qu'elles devaient être en route pour la Martinière. Nous revînmes aussitôt, rendre compte de notre mission et cette nouvelle fût accueillie par de nombreux bravos. On se porta en masse à la Martinière, mais, bientôt, on revint annoncer qu'on n'avait trouvé là aucune arme. Déjà on nous accusait de trahison et l'exaspération fut à son comble. Nous demandâmes l'autorisation de retourner une troisième fois chez le général et de le menacer d'envahir les forts et de nous armer nous-mêmes, s'il ne tenait pas la promesse faite ".
" Nous nous disposions à y aller, lorsqu'on vint annoncer que 4 à 5 caisses de fusil venaient, en effet, d'être distribuées à la Martinière et qu'on en promettait d'autres un peu plus tard. Il était 5 heures du matin. Le jour commençait à paraître " .
Ce samedi 26 février avant de se séparer "nous avions divisé les 90 membres (du Comité) en 4 commissions. L'une de guerre et de police, l'autre des subsistances , la 3e des finances et la 4e devait être du pouvoir exécutif, présidée par Laforest ".
Le dimanche 27 février le Comité Central décide de nommer un général et le choix " s'arrêta sur le général Neumayer, aimé du soldat et que l'on disait bon patriote. Mais il fallait avoir son adhésion et je fus désigné, avec deux autres membres, au nombre desquels étaient Gudin, pour aller lui en faire la proposition "
" Nous prîmes un fiacre aux Terreaux, à l'heure, et le cocher nous prévint que c'était 6 francs de l'heure ". Devant ce prix exorbitant, 6 fois le prix d'une course normale "nous le menaçâmes de le faire arrêter immédiatement s'il ne voulait pas marcher, attendu qu'il était sur place et que la proclamation de la République ne détruisait rien, pas plus les tarifs qu'autre chose et que faire composer les citoyens, dans un moment semblable, c'était vouloir faire maudire la République. Nous déclinâmes la qualité que nous avions et qui nous permettait de parler ainsi, et il marcha sans se faire prier ".
" Il nous conduisit rue Bourbon au domicile du général Neumayer. La porte cochère était fermée et, après avoir frappé plusieurs fois, on entrebâilla seulement la porte et nous pûmes voir une forte compagnie de grenadiers bivouaquant dans la cour. Cela nous fit craindre quelque trahison et nous ne savions qu'en dire. Pourquoi de la troupe ainsi cachée et fermée ? Cependant, les renseignements que nous prîmes dans le quartier nous rassurèrent. On nous dit que le général ne pouvait être sans garde, qu'il fallait, du reste, quelques hommes pour seconder la garde nationale contre de criminelles tentatives et que, si on les avait fermées ainsi, c'était pour ne pas inquiéter le quartier ".
" Nous demandâmes à plusieurs reprises à parler au général, mais on nous soutint qu'il n'était pas chez lui. Nous eûmes de la peine à le croire : cependant au bout de quelques instants un aide de camp du général sortit et vint nous dire que le général Neumayer faisait la ronde dans les forts, que nous pouvions être parfaitement tranquilles, que c'était la vérité et que le général Neumayer était dévoué à la République. Nous remontâmes dans notre fiacre et revînmes à l'Hôtel de Ville rendre compte de notre mission. " Après avoir envoyé plusieurs messagers dans les différents forts, il finissent par trouver le général Neumayer qui accepte la mission qui lui est donnée.
Une note du 29 février, soumise à l'approbation du Général Neumayer nous apprend que Gudin était président du comité de la guerre et de la Police : " Le Comité de la guerre et de la police demande qu'un poste de garde nationale soit établi concurremment avec la troupe de ligne dans le bastion 4 de la Croix-Rousse. Le président du Comité : Gudin ".
Le jeudi 8 juin : " Je suis allé, avant le déjeûner, faire une visite à Laforest. Je l'y ai trouvé, avec beaucoup de lyonnais. Ainsi j'y ai vu Gudin, Doncieux, Belloc, Lehaitre, et Billaudel qui devait être envoyé comme préfet à Lyon et qui n'a pas voulu accepter ".
Le 29 mars, la révolte gronde, la troupe se rebelle. "...un bataillon du 13e de ligne et quelques soldats du 12e léger, las des consignes sévères qui leur étaient imposées" entrent en révolte contre leurs officier, chantent la Marseille et fraternisent avec les ouvriers massés sur la Place Bellecour. Ils réclament en outre sur "un large écriteau... la demande d'élargissement d'un de leur camarades, le fourrier Gigoux, du 4e régiment d'artillerie, emprisonné la veille pour cause d'insubordination. La colonne, conduite par un maréchal des logis de ce même régiment d'artillerie, se présente devant les portes de la caserne; elle menace de les enfoncer si l'on ne livre pas immédiatement le prisonnier. Le général Neumayer paraît alors à l'une des fenêtres, harangue les soldats et le peuple, s'engage à demander, en leur nom, au général Bourjolly, la liberté du sous-officier. Mais la foule défiante ne se paye pas de cette promesse; elle exige du général qu'il se rende sur l'heure avec elle à l'hôtel du lieutenant général. Celui-ci, prévenu de ce qui se passe, fait ouvrir les portes, annonce à la foule que la grâce est accordée, et qu'il vient d'envoyer chercher en poste à Grenoble le prisonnier.
Le peuple, satisfait de cette concession, se retire; mais ce n'était pas l'affaire des clubs qui entendaient tirer un meilleur parti de cet incident. Le 31 mars dans la nuit, ils envoyèrent à M. Arago une députation pour demander, au nom du peuple et de l'armée, que les corps de la garnison, dont le départ était fixé au lendemain, restassent jusqu'à l'arrivée du sous-officier, afin de prendre part à l'ovation qu'on lui préparait. M. Arago, tout en essayant de leur faire entendre la nécessité d'obéir aux ordres précis du gouvernement provisoire et de ne pas entraver la formation de cette armée des Alpes qui va sur la frontière défendre la patrie, accorde aux clubs un délai de vingt-quatre heures. (Ci-contre, document signé de Laforest, maire provisoire de Lyon, concernant l'envoi de trois membres du conseil municipal, dont Gudin, à Grenoble, pour aller rechercher Gigoux)
Le lendemain, le fourrier Gigoux arrivait à Lyon. Une foule innombrable, qui l'attendait sur la place de l'Hôtel de Ville, demande à grands cris qu'il paraisse au balcon; Lorsqu'il se montre entouré des autorités municipales, une acclamation immense le salue à plusieurs reprises. Quand le calme est rétabli, Gigoux prend la parole. A la surprise universelle, il harangue la foule du ton le plus modéré; il recommande au peuple le bon ordre, le respect à la loi; puis, s'adressant particulièrement aux soldats, il les supplie de rentrer dans leurs casernes et de faire acte de soumission à leurs officiers. Il insinue même qu'il regrette d'avoir donné lieu, par un moment d'oubli de la discipline, à ce qui se passe. Sans trop s'arrêter au sens de son discours, la multitude bat des mains, crie: Vive Gigoux! et une heure après, une marche triomphale parcourt les rues et les quais de Lyon en célébrant, en quelque sorte malgré lui, le héros involontaire et repentant de l'indiscipline..."" (Histoire de la Révolution de 1848, Daniel Stern, pages 101 et 102)
Gudin Michel: négociant, ancien membre du comité exécutif provisoire, membre du club Sanaoze, orateur des banquets socialistes
En 1870 lors du mariage de sa fille Claudine Théanie avec Jean Louis Maynard, il habite au n°10 de la rue du Plâtre à Lyon (1er arrondissement
Michel décède à Lyon le 14 février 1875 à 65 ans. Il habitait alors au n°48 de la rue St Marcel dans le 1er arrondissement. Cet immeuble, en moellons, comportait 6 étages. (Depuis 1887, la rue St Marcel porte le nom de sergent-Blandan).
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| La famille Giraud est implantée dans le Var, à Draguignan, depuis des temps ... immémoriaux...!
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| La famille Fraïssé est originaire de l'Aude où elle est implantée dans plusieurs villages situés entre Carcassonne et Castelnaudary.
Le premier a quitter le berceau familial est Adrien Dominique Fraïssé.
Les onglets suivants présentent: Adrien Dominique Fraïssé Simon Guerrier, gendre d'A Louis Barrand Léon Coste Jules d'Abbadie Lucien Fraïssé Hilarion Ayasse Joseph Ayasse Marguerite Fraïssé
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"Marguerite" Anaïs est le dernier enfant de Dominique Fraïssé et Marguerite Vial et le seul à ne pas naître à Perpignan.
Dominique, son père, est devenu principal du Collège de Clermont d'Oise (60) et c'est dans ce village au nord ouest de Paris qu'elle naît le 15 avril 1856.
Dans son acte de naissance nous apprenons qu'elle est née à "onze heures du soir" au domicile de ses parents au n°13 de la rue de Mouy.
En 1882, Marguerite projette de se marier l'année suivante, quelques temps après sa soeur Marie-Cécile.
Antoine Rédier, son cousin germain, dans une lettre à Marie-Cécile en septembre 1882 écrit: "Raconte moi aussi comment tu trouves le mari de Marguerite, je plains celui-ci autant que je félicité le tien. C'est marguerite qui a hérité des coups de pied dans l'oeil de ta mère et tu feras bien de la mettre en garde contre cet accident. Par compensation, il vrai, elle touche du piano, mais que de pianos se changent en commode quand on se marie. Tu lui feras quand même tous mes compliments et tu lui diras de me prévenir à l'approche du mariage, qui sait si faute d'aller au tien, je n'assisterai pas au sien".
A quoi correspond cette expression "coups de pied dans l'oeil"? Mes recherches sont restées infructueuses. je ne pense pas qu'il s'agisse d'un défaut physique: paupière fermée, yeux qui louchent ou qui divergent, etc... Il doit s'agir plus sûrement d'une expression imagée relative au caractère de Marguerite qui était plutôt mauvais. Avec diplomatie on rapporte qu'elle a laissé le souvenir d'un caractère qui n'était pas facile...!.
Quoiqu'il en soit La tradition familiale rapporte que son fiancé, un nommé Gabriel Perrier, aurait rompu les fiancailles. Cette grande déception sentimentale tiendra Marguerite éloignée pour la vie de la gent masculine. Sa rancoeur lui faisait dire à sa nièce Lucie Giraud: "Je ne sais pas comment tu fais pour être dans le même lit qu'un homme, c'est dégoûtant".
Marguerite était professeur de piano et avait eu un accessit à Lyon (?). C'est elle qui apprit le piano à ses deux petites nièces: Marie et Marguerite Maynard. Elle a exercé toute sa vie à l'école de Jeunes filles de Draguignan. Régulièrement elle emmenait ses élèves sur la place principale de Draguignan pour chanter dans le kiosque.
Après le décès de ses parents, elle vécu avec sa soeur Marie-Cécile Fraïssé et son beau frère Pierre André Giraud. Elle décède en 1934, à Draguignan. Elle y est enterrée avec sa soeur et son beau frère.
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